Précision, endurance, force d'équipe - BUTTING convainc dans "l'enfer vert

Mi-juillet, circuit du Nürburgring dans l'Eifel. Le soleil de midi brûle, les projecteurs au-dessus de la ligne de départ projettent un blanc étincelant sur l'asphalte. Dans la voie des stands, les pédales s'enclenchent, les conversations se taisent - un silence tendu. Le compte à rebours a commencé. Le coup d'envoi de l'une des épreuves d'endurance les plus difficiles du cyclisme va être donné : la course cycliste de 24 heures "Rad am Ring". Parmi les plus de 11 900 participants : une équipe internationale de huit personnes de BUTTING.

Depuis 2003, cette course est considérée comme le test extrême ultime. Le circuit réunit le circuit ultramoderne du Grand Prix de Formule 1 et la légendaire Nordschleife - autrefois surnommée "l'enfer vert" par Jackie Stewart. 92 virages, 560 mètres de dénivelé par tour, des pentes allant jusqu'à 17 pour cent - de jour comme de nuit, sous le soleil, la pluie ou le brouillard. Pour réussir ici, il faut bien plus qu'une bonne condition physique : il faut de la stratégie, de la précision et une confiance illimitée dans l'équipe.

Une équipe internationale - une mission 
Robby Boenicke (BUTTING Canada), Mario Kulow (directeur général de BUTTING Anlagenbau, Schwedt), Marco Karig, Kai Zander (BUTTING Anlagenbau, Schwedt), Heike Hermann (CFO du groupe BUTTING), Benjamin Mrohs (groupe BUTTING), Marvin Ehrhardt (BUTTING CryoTech) ainsi que Marcel Bartels (CEO Division Anlagenbau du groupe BUTTING). Huit coureurs issus de différents sites et départements de l'entreprise - unis par l'objectif d'aller jusqu'à la limite de leurs performances en tant qu'unité soudée.

La course s'est déroulée en mode relais : chaque tour de 26,5 kilomètres a été effectué par un coureur avant que le suivant ne prenne le relais. Au total, l'équipe a parcouru 24 tours, chaque coureur en ayant effectué 3. Au total, l'équipe a parcouru 626,4 kilomètres et 13 440 mètres de dénivelé, ce qui représente 78,3 kilomètres et 1 680 mètres de dénivelé par coureur. Le tout sans vélo électrique, avec des vitesses de pointe allant jusqu'à 100 km/h dans les descentes et des montées éreintantes comme le "Hohe Acht". Ce furent des heures de sueur, d'adrénaline, de volonté et de concentration.
"Quand tu démarres la montée à trois heures du matin dans l'obscurité, une seule chose compte : voir l'équipe franchir la ligne d'arrivée. Ce sentiment te porte", décrit Marvin Ehrhardt.

Tactique, engagement et soutien mutuel
Dans le camp d'équipe, tout s'imbrique : des accords clairs, des vérifications rapides du matériel, de brefs moments de répit. Chacun soutient l'autre, chacun prend ses responsabilités. Tout le monde sait que nous ne gagnerons ou ne perdrons qu'ensemble. "Ces 24 heures ont montré à quel point nous pouvons être solidaires - que ce soit sur le circuit ou dans le travail quotidien", souligne Heike Hermann.

Du circuit de course à l'activité de projet
Les facteurs de réussite qui comptent au Nürburgring sont également décisifs dans l'activité de projet internationale : une planification précise, des processus efficaces, une collaboration sans faille entre les sites BUTTING, une grande performance sous la pression du temps et une orientation conséquente vers les objectifs.

"L''Enfer vert' a démontré de manière impressionnante la force que représentent la détermination, la précision et la confiance lorsqu'elles sont parfaitement combinées. Ces valeurs sont la base sur laquelle nous réalisons les projets les plus exigeants pour nos clients, exploitons les opportunités de manière ciblée et établissons de nouveaux critères dans un environnement dynamique". - Marcel Bartels, CEO du groupe BUTTING.

BUTTING - plus que des tuyaux - pour une meilleure qualité de vie

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